Nombreux sont les particuliers qui à un moment ou à un autre ont dû faire face à la complexité de la vente d'un terrain ou d'une maison. Généralement, deux choix se présentent à eux : faire affaire avec un citoyen lambda ou céder leur bien à un professionnel du domaine. Toutefois, des deux options beaucoup penchent pour la vente à un promoteur du fait de ses nombreux avantages.
Les avantages sur le plan financier
Traiter avec un professionnel comme celui présenté sur le site web www.ramery-immobilier.com, permet d'avoir plus de chance d'aboutir à un meilleur prix de vente pour son bien. Cela s'explique premièrement par le fait qu'un promoteur immobilier a souvent une plus grande capacité financière qu'un particulier. En outre, la proposition d'un prix d'achat par un promoteur résulte de la méthode d'évaluation propre aux professionnels du domaine. Généralement, ils ne s'attardent pas sur la valeur vénale d'un terrain. La valeur constructible a bien plus d'intérêt à leurs yeux. Ils s'intéressent également à d'autres caractéristiques de l'actif immobilier, telles que :
- ses commodités ;
- son potentiel ;
- et son emplacement géographique.
Par ailleurs, indépendamment de l'état d'un terrain (construit ou constructible), deux prix sont appliqués. Le premier est son prix immédiat. Il représente sa valeur en l'état. Habituellement, c'est ce montant qu'un acheteur lambda vous propose. Il faut noter qu'il peut être bas si des travaux de mise en conformité ou de rénovation sont nécessaires. Le deuxième prix pratiqué est celui du potentiel constructible du terrain. La plupart du temps, il est bien plus élevé que le prix immédiat. C'est celui qu'un promoteur propose pour acquérir un terrain. Il dépend de ce qui est déjà construit (ou non), de ce qui est utilisable et enfin de qui peut être construit sur le terrain.
De plus, la vente à un promoteur est une opération assez fiable et directe, sans besoin d'intermédiaire (agent immobilier ou agence immobilière). Cela signifie donc moins de frais additionnels à payer.
Vendre à un promoteur immobilier : un pas vers les projets sociétaux utiles
Suite à l'achat d'un terrain, les promoteurs procèdent à la mise en place d'un projet immobilier. La vente d'un tel bien à un professionnel du domaine vous permet d'une certaine manière de prendre part à un programme immobilier. Au-delà du fait d'obtenir un bon prix, le propriétaire jouit d'un sentiment d'avoir contribué au bien-être de sa communauté. La plupart des promoteurs détiennent les moyens et les informations qui leur permettent de savoir avec précision, quel type de projet convient à chaque localité.
On retrouve parmi ces projets, la construction de grands immeubles pouvant aider à satisfaire le plus possible de demandes de logements. À cela s'ajoutent les constructions de logements adaptés pour les personnes handicapées et de logements sociaux. La nature des édifices peut être plus étendue en fonction de la situation géographique. Il peut s'agir par exemple d'usines, de locaux commerciaux ou encore de bureaux. Vendre à un promoteur revient donc d'une certaine manière à participer au développement de sa localité.
Les avantages sur le plan fiscal
Naturellement, toute transaction immobilière ayant généré un gain financier est soumise à la fiscalité. La vente d'un terrain n'y fait pas exception. Le propriétaire aura assurément à payer les prélèvements sociaux et l'impôt sur le revenu. Néanmoins, du fait d'une mesure mise en place en janvier 2018, il a la possibilité de bénéficier d'un allègement fiscal sur la plus-value en vendant à un promoteur. Cet avantage fiscal est généralement appliqué dans les localités où il est difficile d'accéder à un logement.
En outre, son application suit certaines conditions bien définies. En tant que propriétaire, il faut que votre terrain soit localisé dans une zone tendue A, A bis et constructible. En ce qui concerne le montant de cet allègement, il est fonction de la nature de l'édifice qui sera bâti par le promoteur sur le terrain. Habituellement, si au minimum la moitié des édifices construits sont des logements sociaux ou intermédiaires, l'abattement est de 85 %. Si par contre le promoteur opte pour un logement collectif de droit commun, l'allègement est de 70 %.